L’équipe internationale qui publie ces résultats dans Nature Geoscience s’est appuyée sur des échantillons remontés en 2010 de la Fosse des Mariannes, dans l’océan Pacifique, par un petit sous-marin piloté à distance.
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Étonnamment, les microbes semblaient deux fois plus actifs que ceux récoltés à «seulement» 6km de profondeur.
Leur garde-manger: les restes de plantes et de poissons morts «là-haut» et qui ont coulé jusqu’au fond.