Selon l’édition 2014 des Indicateurs de science et de technologie de la National Science Foundation (NSF) des États-Unis, la Chine a dépensé pour la recherche, en 2012, un plus gros pourcentage de son PNB que l’Union européenne. Si la tendance se maintient, la position de tête des États-Unis n’est plus garantie. Un bémol toutefois, préviennent les statisticiens de la NSF: qu’il y ait une plus grande production d’articles scientifiques en Chine (ou dans quelque pays que ce soit) ne dit rien sur leur portée. Ces indicateurs sont en effet aptes à pointer la quantité, pas la qualité.
La Chine scientifique poursuit sa progression: elle est à présent le troisième producteur mondial d’articles de recherche, derrière les États-Unis et l’Union européenne. Et ça n’est pas fini.
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