Préjugés, résument Stefano Mancuso (Brilliant Green) et Richard Karban (Plant Sensing and Communication) : ces auteurs rejettent l’idée que l’intelligence doive être définie en fonction de la possibilité de se déplacer. Puisque, disent-ils, nous n’hésitons plus, désormais, à parler d’une « intelligence animale » pour définir des actions telles que la recherche de nourriture, la communication avec les congénères ou la réaction face à un prédateur, nous devrions attribuer ce mot aux plantes, puisqu’elles font les mêmes actions — juste d’une façon qui nous est plus étrangère.
— Et si les plantes étaient plus intelligentes qu’elles n’en ont l’air? Deux livres sont arrivés cette année avec la même idée : en gros, les plantes auraient une intelligence, mais nous serions incapables de nous en apercevoir... parce qu’elles sont trop lentes.
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