Dirigée par la neurologue Rachel Yehuda, de l’École de médecine Mont-Sinaï à New York, cette recherche vise plus précisément à identifier d’éventuelles empreintes moléculaires sur des gènes qui auraient été transmises des parents aux enfants, sans altérer la séquence des gènes elle-même.
Abonnez-vous à notre infolettre!
Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!
Des résultats préliminaires sont parus en mai dans l’American Journal of Psychiatry : en gros, un type d’empreinte (appelé méthylation) ressort effectivement chez les enfants dont un des parents a survécu aux camps de concentration —mais l’effet semble être différent, suivant que le survivant ait été le père ou la mère.