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Il faut respecter le droit à la vie privée des momies. Sans rire.

L’anatomiste Frank Rühli et l’éthicienne Ina Kaufmann, de l’Université de Zurich, en Suisse, soulignent dans une édition récente du Journal of Medical Ethics que, bien que la communauté médicale soit unanime quant à la nécessité d’encadrer la recherche sur des tissus vivants, personne ne semble vouloir discuter des prélèvements sur des momies.

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Une cruelle injustice, considérant que ce type de recherche est pourtant «invasif» et susceptible de révéler des informations médicales personnelles... sans le consentement de la personne momifiée.

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