En gros, cette recherche conclut que les enfants américains nés dans des zones plus polluées —de plus fortes concentrations de particules de plomb, manganèse, mercure, nickel et autres— seraient plus nombreux à être diagnostiqués autistes. L’étude de l’Université Harvard est partie de deux études régionales plus petites: on est donc très loin des pseudo-études associant vaccination et autisme.
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Mais la corrélation, reconnaissent les chercheurs eux-mêmes, n’est pas solide: le niveau d’exposition des femmes enceintes aux polluants s’appuie sur des modèles informatiques. Mais le travail suscite beaucoup d’intérêt parce que la piste des polluants est suivie avec sérieux par plusieurs chercheurs depuis une dizaine d’années.
— Pascal Lapointe





