Le gène en question (ChR2) sert, chez les algues, à activer une protéine sensible à la lumière : autrement dit, il permet de distinguer la lumière de la noirceur, et c’est exactement ce qu’il a fait une fois inséré dans les cellules de la rétine des souris aveugles. Si on pouvait appliquer ce traitement aux humains — et on évoque la possibilité de mener des essais d’ici deux ans — la cible pourrait être la dégénérescence maculaire, une maladie qui affecte environ 15 millions de personnes dans le monde ( New Scientist ).

Des souris ont retrouvé la vue grâce à un gène qu’on est allé chercher dans un endroit assez inattendu : une algue.
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