Pour ce faire, les chercheurs ont comparé le taux de mélatonine, l’hormone du sommeil chez 8 citadins dans leur vie quotidienne et après une semaine de camping sauvage. Selon les résultats de l’étude, le rythme biologique en milieu naturel est décalé de deux heures par rapport au milieu urbain. Autre conclusion, si l’on a tant de mal à nous lever le matin, c’est parce que le taux de mélatonine ne commence à décroitre que deux heures après le réveil.
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Profiter le plus possible de la lumière naturelle et éviter la lumière artificielle le soir seraient alors les moyens les plus naturels d’améliorer la qualité de notre sommeil. De quoi déplaire fortement aux noctambules!





