Selon l’édition 2014 des Indicateurs de science et de technologie de la National Science Foundation (NSF) des États-Unis, la Chine a dépensé pour la recherche, en 2012, un plus gros pourcentage de son PNB que l’Union européenne. Si la tendance se maintient, la position de tête des États-Unis n’est plus garantie. Un bémol toutefois, préviennent les statisticiens de la NSF: qu’il y ait une plus grande production d’articles scientifiques en Chine (ou dans quelque pays que ce soit) ne dit rien sur leur portée. Ces indicateurs sont en effet aptes à pointer la quantité, pas la qualité.
La Chine scientifique poursuit sa progression: elle est à présent le troisième producteur mondial d’articles de recherche, derrière les États-Unis et l’Union européenne. Et ça n’est pas fini.
Les plus populaires
Le mystère de la tache bleue de l’Atlantique Nord résolu?
Jeudi 10 juillet 2025
Doléances pour les collections scientifiques de nos musées
Dimanche 13 juillet 2025
Un portrait brûlant du nord québécois
Mercredi 9 juillet 2025