Les chercheurs de Suisse et de Côte d’Ivoire étaient plus spécialement intéressés par la présence d’un ver parasite dans les excréments humains.
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Il se trouve que le grand nombre d’espèces de ces vers, en nous, rend difficile la mise au point de tests diagnostics, de sorte qu’il est nécessaire d’accumuler un maximum de données sur leur répartition et leur cycle de vie.
D’où l’idée d’aller mettre la main... là où il est plus facile de les trouver. ( PLoS Neglected Tropical Diseases )
- Pascal Lapointe