Ce projet sous la direction du gouvernement du Kenya, financé par le Fonds mondial pour la nature, représente la dernière arme contre les contrebandiers —ceux qui tuent le rhinocéros pour sa corne. Si on ne peut pas empêcher l’animal d’être tué, du moins pourrait-on, grâce à la puce électronique, retrouver la corne avant qu’elle ne soit réduite en poudre (on lui prête des vertus médicinales dans plusieurs cultures). Ce qui serait suffisant pour accuser les contrebandiers devant un tribunal et du coup, espère-t-on, décourager ceux qui seraient tentés de se lancer dans le trafic.
Si tout va bien, dans quelques mois, un millier de rhinocéros se promèneront avec une puce électronique dans la corne.
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