Pour la première fois, une étude confirme en effet que notre odorat n’est pas si pauvre, puisqu’il est capable de détecter la présence de gras dans un aliment. Et du point de vue de l’évolution, ça se tient: le gras n’a pas toujours été regardé avec méfiance.
Abonnez-vous à notre infolettre!
Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!
Au contraire, à bien des époques, l’habileté à détecter les sources de gras a pu être un avantage, spécialement lorsque venait le temps d’accumuler des réserves d’énergie pour l’hiver...
Cela dit, comme en ce 21e siècle, faire confiance à notre odorat serait un peu aléatoire, les chercheurs du Centre de recherche Monell sur les cinq sens, à Philadelphie, espèrent utiliser cette découverte pour concevoir des appareils capables de «renifler» les aliments à notre place...





