Une telle évaluation s’appuie sur le nombre de décès prématurés que les statistiques attribuent annuellement à la pollution — cancers du poumon, crises cardiaques ou problèmes respiratoires. Et c’est sans compter l’asthme chez les enfants, qui n’est pas mortel, mais pourrait se chiffrer, en 2030, à 29 000 cas de moins par année.
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L’étude de l’Université Duke en Caroline du Nord, parue dans Nature Climate Change, s’inscrit dans une tendance récente où des chercheurs tentent de mettre des chiffres sur l’impact des changements climatiques sur la santé.