À travers des records de chaleur, des sécheresses extrêmes ou des inondations catastrophiques, il n’y a pratiquement pas une région de la planète qui n’a pas eu à subir un événement météorologique extrême. « Le monde n’en est pas tout à fait au point où chaque record de chaleur a une empreinte humaine, mais nous nous en rapprochons », résume pour l’Associated Press l’auteur principal, le climatologue Noah Diffenbaugh. Son équipe estime à 57 % la proportion de records annuels de faibles précipitations qui peuvent être attribués en partie aux changements climatiques, et à 41 % la proportion des records de pluie pendant 5 jours. Leur analyse et les critères qu’ils ont employés pour attribuer en tout ou en partie un événement météo au climat, sont parus lundi dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.
Le réchauffement climatique a-t-il à présent fait sentir son empreinte aux quatre coins du monde ? Il semblerait que oui, selon une analyse inédite d’un groupe de l’Université Stanford, aux États-Unis.
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