Des populations d’oiseaux, de l’autre côté de l’Atlantique, ont proliféré.
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C’est que la maladie a envoyé à l’abattoir un très grand nombre de bovins britanniques.
En conséquence, Londres a dû en importer un grand nombre des États-Unis et du Canada.
Il en a résulté, trois ans après le début de la crise, moins de bovins dans les grandes plaines de l’ouest, donc davantage de nourriture pour les oiseaux —qui ont sauté sur l’occasion, concluent deux biologistes de l’Université Trent, en Ontario, dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.