dreamstime_xs_18774238.jpg
Des volontaires qu’on enferme dans un sarcophage, dans le but de mesurer leur respiration et leur transpiration: ceci pourrait un jour sauver des vies.

L’idée est d’imiter les chiens qui, après une catastrophe, aident à trouver des survivants sous les décombres.

Abonnez-vous à notre infolettre!

Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!

On sait que les chiens sentent la présence d’un humain, mais ce qu’ils sentent, une machine le pourrait-elle aussi?

D’où cette expérience mise au point par le chimiste britannique Paul Thomas et des collègues de partout en Europe: en mesurant les composants qui «émanent» d’une personne, et de seulement elle —puisqu’elle est enfermée dans ce sarcophage— peut-être pourrait-on un jour avoir une machine portative, capable de repérer cette signature si particulière.

À suivre lors du prochain séisme.

Je donne