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On parle plus qu’avant des commotions cérébrales dans le sport et on se rend compte qu’elles ne sont plus réservées aux sportifs professionnels: elles touchent aussi de jeunes joueurs de soccer, de hockey et autres jeux où «ça frappe fort». Avec quelles conséquences et que peut-on faire pour prévenir?

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On apprenait le 25 novembre que 10 ex-joueurs de la Ligue nationale de hockey ont déposé à Washington un recours collectif, soutenant que la ligue ne les a pas assez protégés des commotions cérébrales.

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Résultat des fameuses « mises en échec » et autres coups violents, les conséquences pour la santé des sportifs peuvent être dramatiques, particulièrement lorsque cela survient jeune —en Alberta, les mises en échec sont acceptées dès le niveau pee-wee (11 et 12 ans).

Qu’entend-on exactement par commotion cérébrale ? Quels sont les sports touchés ? Quelles sont les conséquences pour la santé de l’athlète —perte de mémoire, attention, syndrome post-commotionnel ? Pour les femmes ? Existe-t-il des moyens de protection efficaces —le casque, par exemple ? Et la prévention ? Est-ce qu’une loi peut encadrer la sécurité dans le sport ? Ce sont les questions qu'Isabelle Burgun pose à ses invités.

Les invités :

  • Dave Ellemberg, neuropsychologue et professeur au Département de kinésiologie de l’Université de Montréal, également chercheur au Réseau provincial de recherche en adaptation-réadaptation et auteur du récent ouvrage Les commotions cérébrales dans le sport (Édition Québec livres)
  • Émilie Chamard, bachelière en psychologie et athlète pour Les Carabins. Elle est actuellement étudiante au doctorat en neuropsychologie clinique. Sa thèse porte sur les modifications qui se produisent dans le cerveau après une commotion cérébrale chez les athlètes féminines.

 

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Je vote pour la science est diffusée le lundi à 13h30, sur les six stations régionales de Radio Ville-Marie. Vous pouvez également nous écouter le mardi à 11h à Radio Centre-Ville (102,3 FM Montréal) et vous abonner sur iTunes. Vous trouverez sur cette page des liens vers les émissions des saisons précédentes. Pour en savoir plus sur l'initiative Je vote pour la science, rendez-vous ici. Vous pouvez également nous suivre sur Twitter.

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