
Élèves et enseignants ont repris le chemin de l’école. Une petite nouvelle s’invite de plus en plus avec eux : l’intelligence artificielle (IA) dite « générative ». Quelle place faut-il lui accorder? C’est le sujet de notre émission cette semaine.
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Alors que les cellulaires sont bannis des salles de cours au Québec, ChatGPT et d’autres agents conversationnels viennent épauler profs et élèves, que ce soit au moment de concevoir les cours ou de faire les devoirs.
L’espoir est de simplifier les tâches des enseignants et de stimuler l’engagement des élèves. Mais cela pose bien sûr des questions éthiques: l’utilisation des données personnelles, particulièrement celles des mineurs, la dépendance à des technologies qui ont démontré qu’elles diffusent de fausses informations, ou qui sont capables de dérives, notamment avec des gens souffrant de problèmes de santé mentale. Sans compter les enjeux écologiques – l’IA étant, on le sait, très énergivore.
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Alors, quelle place pour l’IA à l’école? Isabelle Burgun en parle avec:
- Julie Monette, conseillère pédagogique à IVADO, détentrice d’un doctorat en éducation et intelligence artificielle
- Simon Landry, enseignant au niveau secondaire, doctorant en sciences de l’éducation à l’Université de Montréal et auteur du livre L’éducation au Québec en ce 21e siècle aux éditions du Tullinois.
L’IA est d’ores et déjà entrée dans les classes, et ça change très rapidement. Pour les enseignants, il n’y a pas de formation officielle. Cela dépend donc pour l’instant du bon vouloir de chacun?
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Je vote pour la science est diffusée le lundi à 13 h sur les cinq stations régionales de Radio VM. Elle est animée par Isabelle Burgun. Recherche pour cette émission: Fanny Rohrbacher. Vous pouvez également nous écouter, entre autres, sur CHOQ (Toronto), CFOU (Trois-Rivières), et CIAX (Windsor).
Vous trouverez toutes les émissions précédentes ici.