C’est l’exercice auquel se sont soumis des Australiens, et il révèle que les niveaux de MDMA, le composé actif de l’ecstasy, sont cinq fois plus élevés la fin de semaine, tandis que ceux de méthamphétamine sont en hausse de 30 %. Des chercheurs de l’Université de Paris-Sud avaient fait une analyse similaire l’an dernier, et arrivaient eux aussi à des eaux usées très différentes la fin de semaine : chez eux, c’était la cocaïne qui s’y retrouvait beaucoup plus présente les vendredis et les samedis soirs.

En 2009, un rapport des Nations Unies n’avait pas trouvé de grandes différences dans l’usage des drogues d’un pays à l’autre. Mais c’est parce qu’il n’avait pas analysé l’eau des toilettes.
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