Évidemment, nulle part n’a-t-il autant tué et détruit que sur les côtes de l’océan Indien. Mais n’empêche qu’il lui a fallu tout ce temps pour s’arrêter. C’est ce que révèlent des données analysées par Alexander Rabinovich et ses collègues du ministère canadien des Pêches et océans, en Colombie-Britannique. Les chercheurs émettent comme hypothèse que l’énergie produite par un tsunami est transmise par les plaques océaniques, ce qui contribue à son impact à une aussi grande distance ( Geophysical Research Letters ).

Saviez-vous que le tsunami dévastateur de décembre 2004 avait finalement parcouru 22 000 kilomètres pendant 3 jours et demi?
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