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À défaut de lire dans vos pensées, pourrait-on... lire tout court?

Pour la première fois, des chercheurs ont associé des fragments d’activité cérébrale à des mots précis.

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Le test consistait à faire entendre à des volontaires, en anglais, quatre noms d’animaux —cheval, requin, canard et bœuf— tout en observant ce qui se passait dans leurs cerveaux. Plus exactement dans le lobe temporal antérieur gauche, censé être la zone responsable des «tâches sémantiques».

Le fait de n’avoir que des mots d’une syllabe —en anglais— et ne concernant que des animaux, permet de déduire que les différences dans l’activité cérébrale renvoient à la représentation de l’animal qui se forme alors dans notre tête.

Il a été ensuite possible de programmer un ordinateur pour qu’il devine quel était le mot prononcé, juste en analysant l’activité cérébrale ( New Scientist ).

- Pascal Lapointe

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