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Les cendres islandaises qui ont tant gêné les compagnies aériennes en mars dernier seraient un phénomène plus fréquent qu’elles n’en ont l’air.

Cet événement a donné un prétexte à des experts britanniques pour examiner des sédiments dormant au fond des lacs —et réexaminer des archives.

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Ils y ont trouvé ce qu’ils pensaient: des nuages de cendres volcaniques atteignent l’Europe du Nord, en moyenne, tous les 56 ans et ce, depuis au moins un millénaire.

Autant dire qu’on risque d’en réentendre parler.

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