Mais c’était peut-être un de ces exemples où la cause et l’effet se confondent.
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Les chercheurs n’ont en effet nulle part attribué la cause à Facebook: peut-être ceux possédant cette zone plus robuste des lobes temporaux étaient-ils mieux préparés au type de relations sociales propres à Internet.
Il est par ailleurs difficile d’en être certain: on imagine mal une équipe de psychologues qui réussirait à comparer deux groupes de jeunes adultes, dont un qu’elle priverait de Facebook pendant un an.
Tout au plus des neurologues viennent-ils de démontrer, grâce à des études sur des singes, que ceux qui vivent en groupe développent davantage certaines parties de leur cerveau que ceux qui vivent en solitaire.
Mais encore là, pas de surprise: il s’agit des régions utilisées pour «décoder l’information sociale».