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Une vingtaine d'apparitions dans les médias, et quelques pics de fréquentation sur les réseaux sociaux : c'est le bilan d'un survol de l'impact direct qu'a eu notre campagne #100LaScience sur le journalisme scientifique.

D'emblée, la campagne a permis d'entendre parler davantage du journalisme scientifique, de sa pertinence et de sa fragilité, que n'importe quelle autre activité des dernières décennies. Outre deux quotidiens généralistes (Métro le 14 avril et Le Devoir le 1er juin) et quatre émissions radio-canadiennes (dont Médium Large et une matinale en Abitibi), des chroniqueurs ont choisi de s'approprier la campagne pour en parler à leur façon : Boucar Diouf et Martin Carli au FM98, Normand Baillargeon et Simon Jodoin à ICI Radio-Canada... Sans oublier l'appel à l'action de la journaliste scientifique Valérie Vorde dans L'actualité (3 mai), les radios communautaires (Radio VM le 9 mai, CHOQ le 13 mai, CKRL le 20 mai et CKUT le 26 mai) et une publication spécialisée dans le journalisme, Projet J, qui en a profité pour mettre du contexte, parler de notre campagne de sociofinancement et de pistes de solution.

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La campagne #100LaScience a bien fonctionné sur les réseaux sociaux, notamment grâce aux relais de comptes influents, comme Judith Lussier le 20 avril sur Facebook, ou la pseudo-découverte d'une cité maya le 11 mai, devenue l'illustration de ce pourquoi il faudrait plus de journalistes scientifiques. #100LaScience s'est hissé dans les sujets tendances (trending topics) de Twitter le 14 avril, jour du lancement et le 12 mai, jour du déjeuner des communicateurs scientifiques au congrès de l'Acfas.

Les trois déclarations ayant entraîné le plus de réactions et partages sur Facebook sont celles de La soirée est encore jeune, de Jean-René Dufort et d'Amir Khadir. L'idée de lier la publication de certaines déclarations à un événement a porté ses fruits, notamment avec le passage de Joanne Liu, de Médecins sans frontières, à l'émission Tout le monde en parle.

La suite ? Si retombées indirectes il doit y avoir, elles seront du côté des actions à entreprendre pour soutenir le journalisme scientifique ou le pousser vers de nouveaux sommets. À suivre...

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