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Nous passons beaucoup de temps sur nos écrans et c’est aussi là que circulent beaucoup la désinformation, les rumeurs et ces faussetés que les désinformateurs aimeraient bien faire passer pour des « faits alternatifs ».

Écoutez cette émission ici ou sur votre plateforme préférée!

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Plutôt que de pointer le micro vers les responsables – par exemple, les machines à clics de vos réseaux sociaux ou votre beau-frère complotiste – nous voulons profiter, à notre émission cette semaine, d’un évènement en cours pour parler du travail de tous ceux qui communiquent la science, à l’occasion ou souvent. 

Comment sont-ils formés, ces communicateurs scientifiques du Québec et d’ailleurs, ainsi que ces journalistes de vérification de faits (« fact-checking ») qui tentent de répondre aux mythes et aux rumeurs par des données probantes?

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Et qu’en est-il du public auquel ils s’adressent? On entend souvent qu’il y aurait un déficit de « culture scientifique » dans la population, comment s'y attaquer? Serait-il plus simple de mieux faire comprendre comment se construit la science et le consensus scientifique?

Bref, quelles sont les armes pour combattre la désinformation en science et en santé? Isabelle Burgun en parle avec:

La désinformation en science et en santé est un phénomène qui se répand plus vite que la lumière: des études avaient d’ailleurs mesuré, dès avant la pandémie, que sur Facebook, une fausse nouvelle se répandait en moyenne 6 fois plus vite qu’une vraie nouvelle. 

Et c’est un phénomène planétaire : quelle forme cela prend-il au Congo? Quel est le travail d’une vérificatrice de faits? Y a-t-il de l’éducation à l’information à faire auprès du public?

La pandémie a créé beaucoup d’interrogations dans la population, sur des choses qui lui étaient obscures —des virus aux vaccins en passant par les taux de transmission. Vulgariser la science, c’est important, mais ça ne semble pas toujours simple à faire, particulièrement à l’heure des réseaux sociaux. Et quel est le rôle des journalistes et des médias? Les journalistes qui ne sont pas spécialisés en science sont-ils bien ou mal préparés ?

De plus, beaucoup de gens qui partagent de l’info en science ou en santé ne sont ni des journalistes ni des professionnels de l’info: on pense à des youtubeurs ou des influenceurs qui le font pour le plaisir ou parce que le sujet s'impose à eux dans l'actualité. Comment peut-on les former et les sensibiliser au fait que l’information scientifique a des particularités? Est-il vrai que c’est moins compliqué que ça en a l’air? Est-ce le but du nouveau cours en ligne que lance ce mois-ci Science-Presse?

L’émotion est un facteur- clef de la dissémination de fausses nouvelles. Comment la contourner?

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Je vote pour la science est diffusée le lundi à 13 h sur les cinq stations régionales de Radio VM. Elle est animée par Isabelle Burgun. Recherche pour cette émission: Isabelle Burgun. Vous pouvez également nous écouter, entre autres, sur CHOQ (Toronto), CFOU (Trois-Rivières), et CIAX (Windsor). 

Vous pouvez également nous suivre sur Twitter . Vous trouverez toutes les émissions précédentes ici.

 

 

 

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