Une étude de 18 représentants d’une espèce de poisson-chat (Neoarius berneyi) nageant dans le nord de l’Australie a révélé que jusqu’à 95 % du contenu de leurs estomacs était composé de restes de ces petits mammifères. Bien que 18 ne constitue pas un gros échantillon, les biologistes australiens tiennent à souligner qu’on n’a jamais observé autant de poissons se nourrissant d’autant de souris. Certaines espèces de poissons-chats sont connues pour attraper des pigeons posés sur l’eau. Cependant, cette espèce-ci, même lorsqu’elle atteint 50 centimètres de long, ne ferait pas le poids face à ces oiseaux. S’agit-il d’un opportuniste qui profite des petits rongeurs — environ 10 centimètres de long — qui se noient ? Ou d’une colonie de souris du coin qui aurait été submergée par des pluies abondantes ? « L’enquête » se poursuit.

Mystère : on a trouvé de nombreux restes de souris dans l’estomac de certains poissons, mais on n’a aucune idée de la façon dont ces poissons ont eu accès à ces souris.
Les plus populaires
USA: des experts en santé forcés de démissionner
Jeudi 17 avril 2025
Un site archéologique découvert sur Mars? Non
Mercredi 23 avril 2025
Quand un ministre de la Santé étale son ignorance de l'autisme
Mercredi 23 avril 2025