Pour cette découverte, des chercheurs de l’Université Comenius, en Slovénie, ont dû recruter 12 couples.
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Ces «cobayes» ont eu la dure tâche de s’embrasser «pendant au moins deux minutes».
Les chercheurs ont ensuite prélevé la salive des uns et des autres, à la recherche du chromosome Y —le mâle— lequel a effectivement pu être identifié dans la salive des femmes. Et ce, jusqu’à une heure après le fait.
Comme c’était la durée de leur recherche initiale, l’équipe s’attelle à présent, dans une nouvelle recherche, à savoir si cet ADN serait encore détectable, quelques heures plus tard.
Et ce n’est pas juste pour le plaisir des couples: la question intéresse beaucoup les policiers qui enquêtent sur des cas d’agressions sexuelles.
- Pascal Lapointe
