: : LES NOUVEAUTÉS : :
- Investissements de l'État: quand voit-on trop court?
Où faut-il couper, en période d’austérité? Qu’est-ce qui est une dépense de l’État légitime? La science, sûrement, mais quelle science? La culture? Les régions? Vaste question, qui divise même les économistes. C’est le sujet de notre discussion de cette semaine.
(Je vote pour la science - émission de radio)
- J’irai cracher sur vos tombes
Une image forte pour coller au message envoyé aujourd’hui par Québec. La grande faucheuse gouvernementale a mis à mort la culture et le journalisme scientifiques d’un grand coup sec. Fini les subventions attribuées aux Débrouillards et à l’Agence Science-Presse, deux fleurons de la presse scientifique québécoise.
(Bruno Geoffroy – Billet de blogue)
- La hache contre la plume
Petit matin gris, j’avais décidé de vous faire un petit billet de blogue sur Noël et notre frénésie de consommation et je cherchais un angle scientifique pour faire passer le message que nous pesons trop sur notre planète et notre environnement, et qu’il était temps d’opter pour un Noël vert...
(Isabelle Burgun – Billet de blogue)
- Qui surveille les désinformateurs?
Que faire quand les techniques de la vulgarisation sont employées par des relationnistes pour faire de la désinformation en science? Quels recours ont les autres professionnels de la communication? Et quelles armes ont les citoyens?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- La science a un problème de relations publiques
Ici et là, des mouvements antivaccination, des groupes créationnistes et des climatosceptiques. Et tous, comme on l’a vu récemment au Québec avec une publicité anti-science, sont assez bien organisés et financés. Pourquoi cela? Parce que partout où l’idéologie entre en conflit avec la science, l’idéologie gagne.
(ASP – Capsule)
- Québec: quel avenir pour la santé publique?
On a beaucoup parlé de politique et d'administration dans le cadre des débats en cours sur la réforme québécoise du système de santé. Quelles sont les inquiétudes du point de vue de la santé publique?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- De jeunes médecins à la défense de la santé publique
Avec la réforme québécoise, les agences régionales de santé publique verront leur budget réduit de près de 30%. Dans la foulée, de nombreux programmes de promotion ou de prévention de la santé risquent de voir leur financement diminuer, voire disparaître. De jeunes médecins se portent aujourd'hui à la défense de la santé publique.
(Isabelle Burgun – Article)
: : AILLEURS SUR LE SITE : :
- Qu'est-ce qu'on mange dans le Grand Nord?
Au Nunavik, la région la plus nordique du Québec, plus de un Inuit sur cinq déclarait en 2012 avoir souffert de la faim pendant le dernier mois. Comme si ce n’était pas assez, l’obésité et le diabète figurent aussi parmi les problèmes. Comment se nourrit-on dans le nord et vers quoi évolue la situation?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Faut-il réformer notre système de santé?
Au Nunavik, la région la plus nordique du Québec, plus de un Inuit sur cinq déclarait en 2012 avoir souffert de la faim pendant le dernier mois. Comme si ce n’était pas assez, l’obésité et le diabète figurent aussi parmi les problèmes. Comment se nourrit-on dans le nord et vers quoi évolue la situation?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Qui surveille les surveillants?
La notion de vie privée en a pris un coup depuis 18 mois. Même si nous ne réalisons pas tous à quel point, nous sentons que les autorités ont davantage qu’avant la possibilité de nous écouter. Mais qui surveille ces surveillants?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Comment s'attrape le terrorisme?
Qu’est-ce qui se passe dans la tête d’une personne qui pose des bombes, qui commet un attentat terroriste? Quelle est la différence entre folie et terrorisme? Est-il seulement légitime de poser la question en ces termes?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Mourir dans la dignité: le Québec distinct?
La loi concernant les soins de fin de vie, mieux connue sous le nom de Mourir dans la dignité, a été adoptée au Québec il y a maintenant quatre mois. Comment voit-on son impact et surtout, son avenir, alors qu’on parle de la contester devant les tribunaux?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Des pipelines en ville
«On n’a pas grand-chose à dire. On nous impose des décisions d’en haut.» C’est ce que déclare le conseiller municipal de la petite ville de Saint-Augustin, par où un pipeline doit éventuellement passer, avant de traverser le fleuve Saint-Laurent. Il est un de nos quatre invités cette semaine.
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Le Cosmodôme, une institution maudite, gangrenée par la politique
Comment ça on ne traite pas de politique dans les blogues? Prenons le Cosmodôme, une installation à caractère scientifique et muséale. Sur le plan politique que pouvons-nous en dire? Y trouvons-nous dans son histoire, le souffle âcre de nos politiciens? Il est intéressant de scruter l’histoire de cette institution, à peine effleurée aux audiences de la commission Charbonneau.
(Jean-Pierre Urbain – Billet de blogue)
- La protection de la faune confrontée à l'économie
Mauvaise nouvelle pour la protection de la nature: une cinquantaine de personnes vont perdre leur emploi —un maillon pourtant important de l’économie du Québec, écrit un de nos invités. C’est le sujet de notre émission de cette semaine.
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Les Canadiens votent pour la science
Avec la réforme québécoise, les agences régionales de santé publique verront leur budget réduit de près de 30%. Dans la foulée, de nombreux programmes de promotion ou de prévention de la santé risquent de voir leur financement diminuer, voire disparaître. De jeunes médecins se portent aujourd'hui à la défense de la santé publique.
(Isabelle Burgun – Article)
- Le risque d'un autre Lac-Mégantic
Un train chargé de pétrole, comme des milliers d’autres trains à travers l’Amérique du Nord, explose dans un centre-ville et tue 47 personnes. L’an dernier, le constat était clair: la tragédie de Lac-Mégantic devait inévitablement se produire, tôt ou tard dans cette ville ou dans une autre. Un an plus tard, avons-nous réduit les risques?
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Lac Saint-Charles: Québec doit suivre l'exemple de New York
Tout dernièrement, on apprenait que l'état de santé du lac Saint-Charles, qui dessert 50% de l'eau potable des résidents de la ville de Québec, s'était grandement détérioré au cours des dernières années. Les développements routiers, les activités agricoles, les fosses septiques non conformes et le déboisement du bassin versant du lac St-Charles sont au banc des accusés concernant la détérioration de ce lac.
(Cercle scientifique David Suzuki – Billet de blogue)
- Lac Saint-Charles: Québec doit suivre l'exemple de New York
Tout dernièrement, on apprenait que l'état de santé du lac Saint-Charles, qui dessert 50% de l'eau potable des résidents de la ville de Québec, s'était grandement détérioré au cours des dernières années. Les développements routiers, les activités agricoles, les fosses septiques non conformes et le déboisement du bassin versant du lac St-Charles sont au banc des accusés concernant la détérioration de ce lac.
(Cercle scientifique David Suzuki – Billet de blogue)
• Disparition au 1810, rue Panet
Nous avons tous un jardin secret. Le mien n’est plus, détruit par le zèle immobilier des constructeurs de condos urbain. Un jardin de ville que je pleure. Le «Jardin de la fabrique» a disparu. Gommé, effacé du quartier Ville-Marie de Montréal, l’un des moins verts de la ville, ce jardin faisait dos à l’Usine C, le centre de création artistique. Il avait germé sur un terrain vacant de l’ancienne usine de confiture Raymond, entre la rue Panet et la rue Larivière.
(Isabelle Burgun – Billet de blogue)
- La Rainette faux-grillon: besoin urgent de protection
La Rainette faux-grillon dite de l'Ouest est une minuscule grenouille mesurant environ 2,5cm de longueur et pesant environ 1 gramme. Elle est une mauvaise grimpeuse, une mauvaise nageuse et nécessite un environnement particulier. Pour se reproduire, en avril, elle a besoin d'étangs temporaires peu profonds et exempts de prédateurs, comme les poissons. Le reste de l'année, elle se cache proche de ses petits étangs de reproduction, parfois asséchés en été.
(Cercle scientifique David Suzuki – Billet de blogue)
- Que faire avec Anticosti?
On l’appelle la perle du Saint-Laurent. C’est une île dont tout le monde a entendu parler, mais sur laquelle bien peu ont mis les pieds. Faut-il la protéger, si oui que faut-il protéger, et est-ce compatible avec son développement? Tous ceux qui y sont allés semblent dire que c’est magnifique, mais plutôt difficile d’accès. Il n’y a pas de navette attitrée, quoique un cargo desserve l’île deux fois par semaine, d’avril à janvier, depuis Sept-Iles ou Rimouski.
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Notre santé, notre environnement!
Est-ce que l'état de notre santé est relié à celui de notre environnement? Devrions-nous mieux protéger notre environnement afin de protéger notre santé et celui de nos communautés? Quels sont les impacts de la pollution sur notre système de santé publique? Découvrez le point de vue du Dr Éric Notebaert, médecin et membre du Cercle scientifique David Suzuki.
(Cercle scientifique David Suzuki – Billet de blogue)
- Les intellectuels dans l’arène publique
Le Printemps érable, la controverse autour de la Charte des valeurs québécoises, les changements climatiques. De nombreuses crises sociales, politiques ou environnementales interpellent les intellectuels. Certains n’hésitent pas à faire le saut dans le débat, comme le philosophe Michel Seymour de l’Université de Montréal: «Droits de scolarité, destin de la chaîne culturelle de Radio-Canada, rapport au religieux. Je m’engage et je participe aux débats publics.
(Isabelle Burgun – Article)
- Chercheurs engagés
Le mythe du chercheur enfermé dans sa tour d’ivoire a la vie dure, mais certaines recherches le mettent plus à mal que d’autres. Parmi les 170 colloques qui s’entrecroisent cette semaine au congrès annuel de l’Acfas (Association francophone pour le savoir), plusieurs portent l’étiquette «politique»: interrogations sur les politiques scientifiques, notamment en santé. Et au moins deux colloques touchent à l’engagement social du chercheur.
(Je vote pour la science – Émission de radio)
- Pourquoi et comment s'intéresser aux politiques scientifiques?
Une «politique scientifique» indique la manière de répartir les fonds publics accordés aux différentes activités scientifiques d'un pays et permet ainsi à l'État de soutenir certains domaines de recherche plus que d'autres. Pourtant, les citoyens, chercheurs ou non, ne s'y intéressent guère... Depuis sa naissance en 2011, l'Association science et bien commun a constaté un net manque d'intérêt dans la société civile québécoise pour le débat public autour des politiques scientifiques, même parmi les chercheurs pourtant directement affectés par ces politiques.
(Florence Piron – Billet de blogue)
- Des baleines et du pétrole
Baleines et développement pétrolier ne vont pas très bien ensemble. Pourtant, deux projets progressent sur des voies similaires, aux deux extrémités du Canada. Du côté du Pacifique, le projet de pipeline Northern Gateway, qui aboutirait dans la ville de Kitimat, Colombie-Britannique, s’il obtient bientôt le feu vert du gouvernement fédéral.
(Je vote pour la science – Émission de radio)
Le mythe d'une science pure, détachée de toute influence, a la vie dure... mais pas à l'Agence Science-Presse. L'exploration de toutes sortes de liens entre science et politique fait depuis des années partie de nos choix éditoriaux. Parce que c'est en comprenant comment l'une influence l'autre, qu'on peut contribuer à mieux comprendre la science, ainsi que la société qui l'entoure.
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